Une rencontre avec l'état-major du 1st Marines Expeditionnary Force

Publié le par Franky

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Quelques jours après mon retour, j'ai eu l'occasion d'aller rencontrer sur leur lieu de travail, la 1ere Force Expéditionnaire des Marines (US). Ce périple de quelques jours a été certain le moment le plus intéressant du travail que j'ai fait jusqu'ici sur ce tour. Initialement prévu pour durée 3 jours, nous avons étiré le plaisir d'une journée de plus à cause d'un ennuie mécanique d'un appareil.

 

Camp Leatherneck, c'est l'endroit où sont installés le groupe de commandement et une partie des troupes de la Force Expéditionnaire des Marines déployée ici. Comparable aux installations qui accueillent la plupart des Canadiens à Kandahar, le Camp Leatherneck est une immense installation autour d'un aérodrome. Tout est plat, ce n’est donc pas trop prévu pour recevoir de grandes précipitations. Durant mon séjour, la pluie a transformé le camp en une sorte de piste à obstacles aquatique. 

 

IMG_0103AA.jpgJe suis allé là avec mon nouveau patron et un collègue américain qui appartient à cette formation. Nous avons rencontré beaucoup de gens et on a eu l'occasion de discuter de procédures et de rapports. On a reçu de nombreux briefings et nous avions nous aussi nos sujets à couvrir.

 

J'aurais voulu aller d'avantage sur le terrain mais la situation ne nous l'a pas permis à ce moment là.

 

Depuis mon retour, la routine a repris. Le temps est frais, il a neigé à Kaboul alors que j'étais au Sud du Pays. Depuis, les températures se maintiennent autour de 0 degré, La poussière du mois de décembre a laissé place à la boue. Que cela ne tienne, on respire un peu mieux depuis.

 

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  Àgauche mon collegue et à droite sur la photo mon nouveau patron, un hollandais.

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A bord de l'avion de transport militaire. On a survolé la zone d'atterrisage durant au moins 90 minutes avant de finalement nous poser. Il faisait un temps de "chiens". Sous la lumiere verte, rien ne parraissait que nous en avions vraiment assez de nous faire brasser. Un vol d'une heure et quart qui a duré presque quatre heures. "Ouf, ouvrez la rampe que l'on sorte" "J'ai mes ailes de Para, laissez moi sauter". Ah non, mon sac à dos ne sera pas suffisant.

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